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laurini family autour du monde
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18 mai 2011

Bolivie : quelle bonne surprise !!

Et bien voilà, la Bolivie est toute grande devant nous … Les aventuriers frileux que nous étions avant le départ n’envisageaient même pas d’y mettre les pieds … maintenant, je ne sais plus par où commencer pour tout vous raconter. En même temps, comme dirait Fred, cet article se passerait bien de tout commentaire, tant les photos parlent d’elles-mêmes !! Mais bon, vous commencez à me connaitre, il faut toujours que je rajoute mon grain de sel partout !!!

Pour nous (et je dis bien pour nous), la Bolivie est à l’Amérique du Sud ce que le Népal est à l’Asie. Comme vous vous souvenez à quel point le Népal nous a touché, vous imaginez notre enthousiasme à retrouver les mêmes sensations ! Bien sûr, nous comparons ce que nous connaissons … c’est-à-dire peu de choses encore (le monde est vaste) … et peut-être que certains des lecteurs ne serons pas entièrement d’accord avec nous ??!!

Bref, nous adorons nos premiers pas en Bolivie !!! Les Boliviens, comme les Népalais, sont des gens adorables qui ne sont pas encore aigris (sauf exceptions) par le tourisme de masse dévastateur que nous avons pu constater en Thaïlande, par exemple. Les « anciens » comme les « ruraux » sont encore complètement plongés dans les traditions, habillés de leurs costumes traditionnels (surtout pour les femmes) et vivotant comme il y a des centaines d’années … tandis que les jeunes des villes essayent de coller à la mode, équipés de toute la technologie existante !

Ils s’extasient devant nos enfants, les touchent, leur parlent, ce qui n’arrivait plus si souvent depuis l’Asie. Il est vrai aussi qu’ils voient beaucoup moins de blondinets par ici qu’en Thaïlande !!

Les femmes sont magnifiques : des petites chaussures noires, des bas en laine, une jupe plissée de couleur recouvrant plusieurs couches de jupons blancs qui balancent à l’arrière au rythme de leur pas, en haut : un châle de laine ou un carré de tissu coloré noué devant et permettant de transporter tout un tas de choses (ravitaillement, marchandise à vendre, ou un enfant) … deux longues nattes tombant dans le dos, embellies d’un pompon et enfin, cerise sur le gâteau : le petit chapeau melon noir, posé en équilibre sur leur tête !! Un vrai régal … mais quel dommage qu’elles n’aiment pas être photographiées … une frustration pour les amateurs que nous sommes !!

Pour ce qui est de nos aventures, elles commencent à Tupiza, superbe petite ville aux marchés colorés et aux vallées alentours dont l’ambiance nous rappelle de bons westerns ! Sur les traces de Butch Cassidy et son coéquipier, nous nous prenons pour les acteurs principaux lorsque nous trottons puis galopons sur nos chevaux boliviens au milieu de la poussière ocre, des condors, des lamas et des cactus jusqu’à la porte du diable et son canyon resserré !! Ambiance garantie et tournage réussi pour cette expérience partagée avec nos amis du Nord.

Tupiza, hormis le fait que ce soit « la Mecque » de la pizza, c’est aussi le point de départ du fameux raid en 4x4 qui nous amènera jusqu’à Uyuni en 4 jours ! Mais pensons d’abord aux préparatifs : direction la pharmacie pour les conseils en matière de mal des montagnes, car notre tour doit se dérouler entre 2800m (Tupiza) et 3600m (Uyuni), en passant les ¾ du temps à plus de 4000m. Le 3è jour, nous frôlons même les 5000m !! Au marché, nous achetons des feuilles de coca, à ne pas confondre avec la cocaïne qui en est un dérivé totalement interdit en Bolivie, ainsi que des herbes à faire infuser spécialement pour les enfants !! Ces feuilles précieuses que les locaux mastiquent toute la journée en chiques si grosses qu’elles leur déforment le visage, sont censées limiter les désagréments liés à l’altitude comme les problèmes gastriques, les maux de tête ou la fatigue … alors pourquoi pas, puisque c’est naturel ??!!

Certains achètent des chaussettes, d’autres du Coca-cola par peur d’en manquer, mais nous partons tous avec l’impression d’être sur le point de vivre une aventure hors du commun :

Jour 1 : départ vers 8h30, arrivée prévue vers 20h.

Mines d’or et d’argent, lamas sur fond de ciel bleu, dans des canyons ou près d’un torrent, nous croisons des dizaines de troupeaux évoluant dans l’immensité du relief du Sud Lipez. Leur oreilles sont toutes percées d’un pompon de couleur vive, ce qui en indique à quel propriétaire ils appartiennent. Monter jusqu’au col, descendre pour franchir le torrent, tourner à gauche, virer à droite, rétrograder, accélérer ou s’arrêter le temps d’une photo, notre Toyota Land Cruiser se met dans tous les états pour s’adapter à cette piste sans merci. On se croit même, par moments, dans les traces du Dakar que Fred, notre ami, a accompli plusieurs fois en moto. Cependant, notre chauffeur s’arrête à plusieurs reprises pour tester les roues arrières. Il semble qu’il y ait « du jeu » dans les roulements, mais Saltos (comme il se nomme) nous parait si sérieux que nos craintes sont vite dispersées. Nous faisons la route avec nos amis du Nord, assis dans un 4x4 gris clair (que vous verrez beaucoup sur les photos) ainsi qu’avec Lupe, la cuisinière. A midi, le convoi s’arrête au milieu de nulle part, Lupe nous prépare le repas tandis que les deux chauffeurs démontent intégralement le train arrière de notre 4x4, histoire de dissiper les doutes encore planants. Champions de mécanique, nous comprenons vite que nous avons à faire à des professionnels lorsqu’une heure plus tard, tout est réparé et prêt à repartir.

Après 9 heures de piste parfois tortueuse, parfois vertigineuse ou même très chaotique, Lupe se plaint de douleurs au ventre. Une fois lui avoir donné ce que nous avions sous la main, nous ne savons plus quoi faire pour la soulager.

A mesure que l’on avance, les douleurs s’intensifient jusqu’à frôler l’agonie lors de notre arrivée 3 heures après. Les locaux sont prévenus, un assistant du centre de santé est à ses côtés en quelques minutes. Ce ne sera pas elle qui nous préparera notre repas ce soir !! Une fois encore, nos chauffeurs nous émerveillent en nous apportant une soupe succulente qui nous réchauffe de l’intérieur … en revanche, nous sommes très inquiets pour Lupe ………. et aussi un petit peu pour notre estomac dans la suite du raid … si la cuisinière a la gastro, ça commence bien !!!!!!!!

Nous sommes à 4200m d’altitude, il fait nuit et froid depuis quelques heures et notre « abri » n’est pas chauffé : il fait entre 5 et 10 degrés dans les chambres … dur dur !! Les enfants sont frigorifiés, nous demandons une bouteille d’eau chaude à glisser dans les sacs de couchage et passons la nuit ainsi.

P.S. : pour ce qui est des paysages, je vous laisse regarder les photos, ça suffit largement !!

Jour 2

: Lupe a bien dormi, elle va mieux et s’est levée à 4h ce matin pour cuisiner le repas du midi (ouf !). La plus belle journée du raid, et certainement une des plus extraordinaire de notre voyage, commence par un rapide (car glacial) petit déjeuner.

Vite réchauffés par les premiers rayons du soleil, nous faisons un premier arrêt devant un enclos de lamas abrités pour la nuit. Au pied d’un volcan enneigé, les photos sont déjà très belles ! Une vieille dame nous vend des chaussettes en laine de lama et nous questionne, très inquiète, au sujet de la fin du monde prévu pour dans 10 jours !!! Nous la rassurons et reprenons la route, étonnés de cette conversation dans un endroit pareil. En effet, chaque kilomètre que nous parcourons nous éloigne un peu plus de toute civilisation digne de ce nom ! Nous sommes à plus de 12 heures de piste de Tupiza ! Avec Martin qui commence à tousser sérieusement, nous finissons par nous demander si nous ne sommes pas un peu fous !!?? Le chauffeur des Ch‘tis le surnomme d‘ailleurs « El Minusculo » car il ne voit pas souvent d’aussi petit touriste sur le tour … c‘est un peu la mascotte, même s’il n‘est pas en grande forme !!

Nous passons ensuite entre plusieurs volcans, devant une source d’eau chaude où les enfants se baignent, le long du « désert de Dali » dont les rochers, disposés dans l’ocre du sable, rappellent l’art abstrait du peintre, à travers des geysers accompagnés de leur résurgences de boue en ébullition à presque 5000m d‘altitude, ainsi que près des trois « lagunas blanco, verde et colorada » . Cette dernière nous éblouit de ses couleurs, notamment grace à l’ orangé des algues, le bleu du ciel, le blanc des bancs de sel, le vert des prairies, le jaune des herbes sèches, et le rose des flamands occupés à ratisser les fonds de la lagune de leur long bec.

Nous arrivons vers 17h au refuge et préparons notre nuit à 4300m d‘altitude, toujours sans chauffage et, cette fois, sans électricité !! La soirée est longue et froide, nous nous réchauffons comme nous pouvons autour d’un petit pôel fait de tôle que nous dénichons à l’arrière du refuge. Nous exigeons de nos chauffeurs qu’ils nous l’allument et l’alimentons de morceaux secs de ces boules vertes ressemblant à de la mousse géante que nous apercevons régulièrement au bord de la piste et qui sont, en fait, dures comme du bois. Nous avons aussi essayé le cactus séché, mais ça ne brûle pas … ça se saurait, les boliviens ne resteraient alors pas sans chauffage par des temps pareils !! La nuit est glaciale, d’autant que les premiers symptômes du mal des montagnes apparaissent chez certains d’entre nous. Zoé se vide par le haut et le bas toute la nuit, tandis qu’Emma, blanche comme un linge, fait des aller-retours aux toilettes dans le froid et l’obscurité du petit matin …

Jour 3

: les mères se demandent ce que nous faisons là tandis que les hommes, brassés eux aussi, se disputent la place aux « banos » !! Bref, le tableau est splendide lorsque nous débarquons tous les 9 dans la salle congelée du petit déjeuner. Dommage, car Lupe (debout depuis 4h) termine à l’instant de faire cuire des crêpes épaisses succulentes que les plus vaillant tartinent de Dulce de Leche ou de confiture ! Pour ma part, l’estomac tient le coup, je me régale donc et remonte dans le 4x4 réchauffée de 3 bols de chocolat bien chaud.

Pour les malades, notre cuisinière préférée fait infuser quelques herbes ramassées la veille, dans une grande casserole. Leur témoignage raconte que le goût de cette mixture se rapproche d’un jus d’endive ultra concentré et qu’il faut être vraiment malade, désespéré à plusieurs jours de voiture d‘une ville, pour avaler une chose pareille !!

Notre Zoé passe une journée abominable penchée à la fenêtre de son 4x4. Le soleil n’est pas au rendez-vous aujourd’hui au grand regret de nos yeux encore émerveillés de la veille. « L’arbre de pierre » n’est pas si beau, la montagne des Incas et les lagunes suivantes non plus, mais nous sommes tous heureux d’être là, au milieu de ce désert, conscients qu’une telle aventure est une chance extraordinaire.

Nous pique-niquons à l’arrière des 4x4 en compagnie de deux biscatchas qui se réjouissent de nos trognons de pomme et de nos peaux de tomates. Ce petit animal appartient à la famille des marsupiaux , il est à mi-chemin entre le lapin et le wallaby et amuse les enfants de ses sauts à travers les rochers.

En fin d’après-midi, Saltos (notre chauffeur) se métamorphose en Fangio et avale les dunes de sable et les chemins cabossés à une vitesse folle. Nous comprendrons bien plus tard que le but était d’arriver dans les premiers à l’hôtel où le nombre des chambres est insuffisant par rapport à la demande. Nous ne regrettons pas cette course folle quand, arrivés sains et saufs, nous découvrons une merveille de construction de sel, du sol en grains épais aux tables et chaises en blocs compactés … presque tout l’hôtel est en sel. C’est pour nous une agréable surprise que de retrouver un minimum de confort comme une douche chaude, une déco originale et une ambiance plus feutrée, plus travaillée !!

Jour 4 : En fait, nous sommes aux portes du réputé « Salar d’Uyuni » : le plus grand désert de sel au monde ! Avec ses 12 000 km² de sel accumulé sur une épaisseur de plusieurs mètres, il est l’une des plus belles merveilles naturelles au monde. La question est : va-t-on pouvoir le traverser demain matin ? A cette époque de l’année, les pluies sont normalement rares, et il fait beau depuis suffisamment longtemps pour que l’eau accumulée sur le Salar se soit évaporée … ce qui doit nous permettre d’y accéder sans trop de risque. Oui mais voilà : personne n’a traversé le Salar depuis 4 mois car les pluies ont cessé il y a à peine quelques semaines. Après une réunion entre la poignée de chauffeurs présents ce soir, Saltos, qui a l’air d’être leur « chef » car plus expérimenté, nous annonce que nous serons les premiers à y pénétrer demain matin, dès 7h. L’excitation est à son comble, mais le risque est simple, c’est que l’eau soit trop haute par endroit et que nous restions bloqués au milieu (à 3h de voiture de la sortie la plus proche). Les nuits sont glaciales et nous ne sommes pas équipés pour passer la nuit dans le 4x4 !! Aventuriers jusqu’au bout, c’est sous la neige que notre carrosse prend la tête du convoi et plonge dans 40 cm d’eau salée pour environ 6 heures de traversée. Le ciel est blanc, le sol est blanc, des bancs de brouillard nous empêchent de distinguer la ligne d’horizon, et sans la grande expérience de Saltos, il aurait été facile de se perdre dans l’immensité de ces 12 000 km², tous semblables les uns aux autres. Le niveau d’eau varie sur le trajet jusqu’à s’annuler sur une petite zone : nous profitons de l’occasion pour dégourdir nos jambes et prendre quelques clichés originaux.

La chance n’est vraiment pas au rendez-vous car rares sont les témoignages de gens ayant traversé cet endroit par mauvais temps à cette époque … nous nous faisons une raison et nous consolons en réalisant qu’ainsi, très peu de personnes auront les mêmes photos que nous !! Le pire, c’est qu’à 13 heures, en sortant de ce désert salé pour la fin du raid, les nuages se morcellent pour laisser passer les premiers rayons de soleil qui se transformerons dans l’après-midi en un véritable bain de lumière inondant Uyuni où nous passons la nuit ….. Nous ne sommes qu’à 30 min de l’entrée du Salar … la tentation est forte d’y retourner en taxi pour le coucher du soleil … mais fatigués par l’ensemble de l’aventure, nous renonçons … nous le regrettons un peu !

Uyuni n’ayant aucun autre intérêt, nous rejoignons Potosi le lendemain en 3 h de bus, par une route absolument magnifique et nous y installons pour 3 jours. Potosi est réputée pour ses mines d’argent en activité que les touristes peuvent visiter en descendant dans de petites galeries pour s’approcher au plus près des mineurs au travail. La visite comporte quelques risques ainsi que des scènes un peu dures où l’on voit les mineurs de tous âges (à partir de 12 ans!) exploités dans des conditions abominables. Nous choisissons de ne pas participer à ces visites pourtant en vogue, au grand regret d’Emma qui n’a pas loupé une miette de nos conversations et demande, la nuit tombante : « dis, maman, tu crois que les nains sont rentrés à cette heure-ci ??? !!!! » (elle veut bien entendu parler des 7 nains de blanche neige, travaillant dans les mines de pierres précieuses). Nous aurons beaucoup de mal à la convaincre d’y renoncer !!

Nous adorons Potosi pour tout le reste. Il règne, dans cette ville de plus de 100 000 habitants la plus haute du monde (4060 m), une ambiance absolument géniale que nous nous surprenons à comparer à celle de Katmandou. Les rues grouillent de piétons qui se dirigent dans tous les sens, de marchands en tous genres, de boutiques où sont tantôt empilés des produits cosmétiques, des produits d’entretien, de l’alimentation de base, … Il y a un quartier pour les coiffeurs, un pour les avocats, un autre pour les chapeliers, les robes de mariées, les articles pour faire la fête … et puis le marché avec les incroyables stands de fruits et légumes, et les carnicerias (boucheries) où l’on trouve des morceaux de viande (voire des demi-bestioles) qui pendent au bout d’un crochet et des abats baignant dans une bassine de sang … tout un poème, mais qu’elle expérience de se faufiler à travers toute cette animation !

Potosi renferme un nombre incalculable d’étudiants de tous les âges, ainsi que d’innombrables églises aux clochers tous plus beaux les uns que les autres. Sur la place, des locaux en costume traditionnel nous pressent des oranges et des mandarines à la demande pour 0,3 cents d’euros, le cireur de chaussures s’affère sur des souliers et une Bolivienne d’un certain âge, belle comme tout malgré les marques laissées par le temps sur son visage, jette des miettes aux pigeons … comme je vous l’ai dis, les seules photos que j’aie sont celles que j’ai « volé » sans me faire voir car il est pratiquement impossible d’obtenir leur consentement !!

Et pour ne rien gâcher, nous sommes installés dans l’une des plus belles chambres de notre voyage avec eau chaude et télévision, pour laquelle nous ne payons que 17 euros la nuit ! Le seul petit problème, c’est que la ville est construite sur des collines, et qu’à 4000m d’altitude, nos poumons ont bien du mal à trouver l’oxygène nécessaire à nos diverses ascensions !!

Au resto (et oui, nous avons de nouveau les moyens d’aller au resto matin, midi et soir), nous dégustons le menu des Inca pour une « longue vie » (comme ils disent), c’est-à-dire du Quinoa et de la viande de lama. En effet, les cultures du bord des routes sont essentiellement du quinoa puisque la Bolivie en est le principal producteur mondial. Nous trouvons également des oranges, des mandarines ou des fruits exotiques comme la mangue et les fruits de la passions que les enfants dévorent à n’importe quelle heure du jour. Il y en a plein d’autres que nous n’avions jamais vu avant et que nous apprécions tout autant. Nous évitons les fruits qui ne s’épluchent pas par sécurité.

Nous sommes en ce moment à Sucre (2800m) où nous respirons bien mieux. La ville ressemble à Potosi sans les mines et avec de beaux bâtiments blancs datant de l’époque coloniale.

Nous nous reposons et nous vous concoctons un petit article sympa. Nous organisons aussi la prochaine aventure qui va consister à dormir une nuit dans un bus pour La Paz, puis prendre un vol d’une heure jusqu’à Rurrenabaque, la porte d’entrée de l’Amazonie bolivienne, et ainsi tenter une petite excursion en 4x4 et pirogue dans la pampa et la jungle du parc Madidi à la rencontre des crocodiles, piranhas, tarentules, anacondas, oiseaux, singes et moustiques par milliers !! … ça promet (encore une fois !!!!!)

J’allais oublier : BONNE FÊTE à toutes les mamans, et en particulier aux deux nôtres, on vous aime très fort !!

Aussi un joyeux anniversaire à notre ami Nico …

Pour les photos, il faudra attendre demain matin ... ben oui, vous comprenez, il faut bien qu'on aille se promener un peu quand même ........ ouh, la vilaine !!!!

Gros bisous à tous, encore et encore MERCI de nous suivre et de nous encourager.

A la prochaine, Hasta luego !

M§E§G§A.

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Commentaires
G
En Equateur n'oublie pas de chanter ne me Quito pas
S
Dire qu'il y en a qui ont du mal à respirer à 100 m d'altitude !<br /> et d'autres qui ne peuvent marcher qu'en terrain plat !<br /> Enrichis par votre expérience vous allez vraiment les " dominer ".<br /> Bonne poursuite,conservez votre jeunesse !<br /> Amicalement
M
Vos aventures sont de plus en plus incroyables et ...extrèmes ! Nous on se régale de vous lire et d'admirer les photos....que c'est beau !! Heureuse que vous soyez tous les 4 en forme. Je vous embrasse affectueusement
R
Nous vous suivons dans vos passionnantes aventures, aujourd'hui 30 Mai anniversaire de Raymond. Merci d'avoir pensé à lui il a apprécié votre jolie carte postale. C'est aussi le mois anniversaire de votre petit Martin qui j'espère s'est bien passé. Encore quelques aventures et nous allons vous retrouver , en pleine forme j'espère et la tête pleine de merveilleux souvenirs. bonne continuation ! Amitiés
C
j oubliais vos photos c est.....epoustouflantes!!!on ADORE<br /> merci pour ces spectacles
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